Signification de la chanson El 08 - Peso Pluma
Dans le monde de la musique régionale mexicaine, la chanson "El 08" de Peso Pluma gagne en popularité pour son mélange unique de sons traditionnels et modernes. Au-delà des rythmes attrayants et des paroles lisses, cette chanson porte une signification plus profonde pour beaucoup d'écouteurs. Dans cet article, nous explorons les significations derrière les mots et leur lien avec le contexte culturel dans lequel elles ont été créées.
Les premiers vers "Je suis micahoacano, mais je veille ici à Jalisco / Une trenta-huit lance des patates, les plantains" établissent immédiatement une tonalité fierté pour la région de Michoacán et ses cultures traditionnelles telles que les pommes de terre (patates) et les plantains (plátanos). Cette sens d'identité régionale est renforcée dans le suivant par "Les antennes dans les sacs et les M's sont prêts." Ici, les M's pourraient être une référence à l'armée mexicaine, qui a une forte présence en Michoacán en raison des conflits en cours.
Le chorus, "Cornes de disque / Je suis toujours armé dans mon arrisco / Javier Guerrero / Le cerrojo porte écrit," est moins clair mais encore significatif. "Cornes de disque" pourraient référer aux cornes d'un camion ou voiture, commun en Michoacán étant un nœud de transport à cause de sa proximité avec d'autres États mexicains comme Jalisco et Colima. "Je suis toujours armé dans mon arrisco," qui se traduit par "J'ai toujours porté des bottes," parle également de la région, car le travail avec les cultures ou le bétail exige souvent des chaussures solides.
Javier Guerrero est une figure politique prééminente en Michoacán, actuellement gouverneur de l'État. Son apparition dans le chorus pourrait signifier un appui pour les chefs locaux ou une reconnaissance de leur influence sur la formation de l'identité régionale. "Le cerrojo porte écrit" est moins clair mais peut potentialement référer aux graffitis ou messages écrits sur des collines, une pratique commune en Michoacán à cause de ses montagnes et vallées.
Le deuxième vers, "J'ai déjà dû me faire face à mes longues / Dans la jarre de Vargas j'ai vécu des choses très amères," aborde les conflits entre groupes criminels organisés et le gouvernement en Michoacán, spécifiquement dans l'aire de Tepalcatepango connue sous le nom de "La Jarre de Vargas". La ligne "j'ai vécu des choses très amères" met en évidence les réalités dures de vivre dans une zone affectée par la violence et le trafic de stupéfiants.
Le chorus est à nouveau répété, suivi d'un autre verset qui aborde les thèmes de l'unité et de la résistance : "Avec l'équipe des panthères / Qui tiennent le drapeau / Les Guerrero et Michoacano / Jusqu'aux trancas". Ici, l'"équipe des panthères" pourrait être une référence aux Autodefensas Unidas contre l'Aggression du Bacrim (AUCAB), un groupe de défense actif en Michoacán. Leur nom s' Traduit par "Groupe des Panthères" et ils opèrent sous le drapeau de l'État de Michoacan, renforçant leur lien avec la région.
Le dernier verset, "Il ne m'apprête rien / Celui qui a grandi / Je me suis naviguer aussi / Avec une bonne réputation", parle d'une sens d'adaptabilité et de résilience face aux adversités. La mention de Michoacano jusqu'aux trancas supplée encore cette fierté régionale, suggérant que même quand on est confronté aux défis, les Michoacanos sont prêts à aller jusqu'au bout.
La chanson se termine par un message d'espoir et d'unité : "Clôture de la palme / Oles pigeons qui volent / Ou ce signeur du cerrito / Ici nous attend javito". Ici, "clôture de la palme" pourrait être une référence aux terrains de football ou des prisons, tous deux significatifs dans la culture de Michoacán. La mention de pigeons (pigeons) et le "seigneur du cerrito", qui pourraient potentiellement être une figure religieuse, mettent encore en évidence l'importance de la communauté et de la foi en Michoacan.
En conclusion, "El 08" de Peso Pluma n'est pas simplement une chanson régionale mexicaine à rythmes agréables; c'est une fête de l'identité régionale, de la résilience et de l'unité face aux adversités. Par ses paroles et références culturelles, cette chanson parle aux expériences des gens vivant en Michoacán, apportant un sens de fierté et de connexion dans un environnement dangereux et incertain.
Les premiers vers "Je suis micahoacano, mais je veille ici à Jalisco / Une trenta-huit lance des patates, les plantains" établissent immédiatement une tonalité fierté pour la région de Michoacán et ses cultures traditionnelles telles que les pommes de terre (patates) et les plantains (plátanos). Cette sens d'identité régionale est renforcée dans le suivant par "Les antennes dans les sacs et les M's sont prêts." Ici, les M's pourraient être une référence à l'armée mexicaine, qui a une forte présence en Michoacán en raison des conflits en cours.
Le chorus, "Cornes de disque / Je suis toujours armé dans mon arrisco / Javier Guerrero / Le cerrojo porte écrit," est moins clair mais encore significatif. "Cornes de disque" pourraient référer aux cornes d'un camion ou voiture, commun en Michoacán étant un nœud de transport à cause de sa proximité avec d'autres États mexicains comme Jalisco et Colima. "Je suis toujours armé dans mon arrisco," qui se traduit par "J'ai toujours porté des bottes," parle également de la région, car le travail avec les cultures ou le bétail exige souvent des chaussures solides.
Javier Guerrero est une figure politique prééminente en Michoacán, actuellement gouverneur de l'État. Son apparition dans le chorus pourrait signifier un appui pour les chefs locaux ou une reconnaissance de leur influence sur la formation de l'identité régionale. "Le cerrojo porte écrit" est moins clair mais peut potentialement référer aux graffitis ou messages écrits sur des collines, une pratique commune en Michoacán à cause de ses montagnes et vallées.
Le deuxième vers, "J'ai déjà dû me faire face à mes longues / Dans la jarre de Vargas j'ai vécu des choses très amères," aborde les conflits entre groupes criminels organisés et le gouvernement en Michoacán, spécifiquement dans l'aire de Tepalcatepango connue sous le nom de "La Jarre de Vargas". La ligne "j'ai vécu des choses très amères" met en évidence les réalités dures de vivre dans une zone affectée par la violence et le trafic de stupéfiants.
Le chorus est à nouveau répété, suivi d'un autre verset qui aborde les thèmes de l'unité et de la résistance : "Avec l'équipe des panthères / Qui tiennent le drapeau / Les Guerrero et Michoacano / Jusqu'aux trancas". Ici, l'"équipe des panthères" pourrait être une référence aux Autodefensas Unidas contre l'Aggression du Bacrim (AUCAB), un groupe de défense actif en Michoacán. Leur nom s' Traduit par "Groupe des Panthères" et ils opèrent sous le drapeau de l'État de Michoacan, renforçant leur lien avec la région.
Le dernier verset, "Il ne m'apprête rien / Celui qui a grandi / Je me suis naviguer aussi / Avec une bonne réputation", parle d'une sens d'adaptabilité et de résilience face aux adversités. La mention de Michoacano jusqu'aux trancas supplée encore cette fierté régionale, suggérant que même quand on est confronté aux défis, les Michoacanos sont prêts à aller jusqu'au bout.
La chanson se termine par un message d'espoir et d'unité : "Clôture de la palme / Oles pigeons qui volent / Ou ce signeur du cerrito / Ici nous attend javito". Ici, "clôture de la palme" pourrait être une référence aux terrains de football ou des prisons, tous deux significatifs dans la culture de Michoacán. La mention de pigeons (pigeons) et le "seigneur du cerrito", qui pourraient potentiellement être une figure religieuse, mettent encore en évidence l'importance de la communauté et de la foi en Michoacan.
En conclusion, "El 08" de Peso Pluma n'est pas simplement une chanson régionale mexicaine à rythmes agréables; c'est une fête de l'identité régionale, de la résilience et de l'unité face aux adversités. Par ses paroles et références culturelles, cette chanson parle aux expériences des gens vivant en Michoacán, apportant un sens de fierté et de connexion dans un environnement dangereux et incertain.
