Pour les audiances habituées, la chanson "Sweet Lew" de Pearl Jam paraît simplement comme une nouvelle chanson rock anthem, mais après une examen plus attentif des paroles, on découvre une histoire plus complexe et émotionnelle. La chanson commence avec les lignes "Puissance haute, puissance basse / Tu peux les prendre tous à l'école", établissant un ton de grandeur et d'accomplissement. Cet impression initiale est rapidement suivie d'une image contraster, car le locuteur demande "Sweet Lew, comment c'était ?". Ici, on perçoit une changement de mood et il devient clair que quelque chose ne va pas à merveille.
Les paroles continuent à révéler cette situation sous-jacente, avec des lignes comme "Cétaient les jours, avant la dépense de placement / Un peu d'aide de 32, spectacle, et digne" qui font allusion à une éventuelle décision ou événement antérieur ayant entraîné des difficultés actuelles. Le locuteur semble faire face à une gamme complexe d'émotions, comprenant de la confusion, de la tristesse et de l'ira.
Le second couplet apporte de plus amples informations sur cette situation, car le locuteur décrit sa tentative infructueuse de copier une autre personne : "J'ai grandi essayant de te copier / Bruce Lee, et art martial / Jouer le jazzman, yogi aussi". Il devient clair que la personne adressée, "Sweet Lew", est tenu en grande estimation par le locuteur, peut-être un modèle ou une idole.
Cette admiration est encore soulignée dans le troisième couplet, où le locuteur fait référence à "7'2" est loin de tomber / Répandre les siens, un et tous". Ici, on voit une référence à Lew Alcindor, mieux connu sous son nom de scène Kareem Abdul-Jabbar. La phrase "Répandre les siens, un et tous" pourrait être interprétée comme un métaphore pour les sentiments d'infériorité ou d'insuffisance du locuteur comparé au succès de son modèle.
Le refrain, "Sweet Lew, comment ça va ? / Sweet Lew, comment c'était ?", sert de refrain qui relie les différents thèmes et émotions explorées dans la chanson. Il met en évidence le complexe rapport entre le locuteur et cette figure, qui semble porter de l'admiration et de la confusion à parts égales.
Globalement, "Sweet Lew" est une exploration poignante de l'expérience humaine de vénérer le succès d'autrui tandis que l'on lutte avec des sentiments d'infériorité ou de confusion. Elle parle des émotions complexes qui naissent de l'idolâtrie envers autrui, particulièrement quand celles-ci sont tempérées par un sentiment d'inadaptation ou de déception. La capacité de Pearl Jam à tissér des thèmes et émotions complexes dans une chanson attrayante et rythmée témoigne de leurs talents de auteurs-compositeurs et interprètes de haut niveau. La chanson possède un mélange de l'espoir et du désespoir, de l'émotivité rawnet et de son appel universel fait de lui une antheme puissante pour quiconque a jamais eu des sentiments d'admiration et de confusion envers les autres.
Les paroles continuent à révéler cette situation sous-jacente, avec des lignes comme "Cétaient les jours, avant la dépense de placement / Un peu d'aide de 32, spectacle, et digne" qui font allusion à une éventuelle décision ou événement antérieur ayant entraîné des difficultés actuelles. Le locuteur semble faire face à une gamme complexe d'émotions, comprenant de la confusion, de la tristesse et de l'ira.
Le second couplet apporte de plus amples informations sur cette situation, car le locuteur décrit sa tentative infructueuse de copier une autre personne : "J'ai grandi essayant de te copier / Bruce Lee, et art martial / Jouer le jazzman, yogi aussi". Il devient clair que la personne adressée, "Sweet Lew", est tenu en grande estimation par le locuteur, peut-être un modèle ou une idole.
Cette admiration est encore soulignée dans le troisième couplet, où le locuteur fait référence à "7'2" est loin de tomber / Répandre les siens, un et tous". Ici, on voit une référence à Lew Alcindor, mieux connu sous son nom de scène Kareem Abdul-Jabbar. La phrase "Répandre les siens, un et tous" pourrait être interprétée comme un métaphore pour les sentiments d'infériorité ou d'insuffisance du locuteur comparé au succès de son modèle.
Le refrain, "Sweet Lew, comment ça va ? / Sweet Lew, comment c'était ?", sert de refrain qui relie les différents thèmes et émotions explorées dans la chanson. Il met en évidence le complexe rapport entre le locuteur et cette figure, qui semble porter de l'admiration et de la confusion à parts égales.
Globalement, "Sweet Lew" est une exploration poignante de l'expérience humaine de vénérer le succès d'autrui tandis que l'on lutte avec des sentiments d'infériorité ou de confusion. Elle parle des émotions complexes qui naissent de l'idolâtrie envers autrui, particulièrement quand celles-ci sont tempérées par un sentiment d'inadaptation ou de déception. La capacité de Pearl Jam à tissér des thèmes et émotions complexes dans une chanson attrayante et rythmée témoigne de leurs talents de auteurs-compositeurs et interprètes de haut niveau. La chanson possède un mélange de l'espoir et du désespoir, de l'émotivité rawnet et de son appel universel fait de lui une antheme puissante pour quiconque a jamais eu des sentiments d'admiration et de confusion envers les autres.
