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Signification de la chanson I Believed You William Blake - Frank Turner

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Le compositeur Frank Turner et son chant intitulé "Je t'ai cru, William Blake", constituent une poignante exploration de l'intricâtre relation entre le poète et artiste révéré William Blake, et sa conjuge. L'histoire lyrique traite artisansment des nombreuses peines et sacrifices endurés par le couple dans leur effort de naviguer dans un monde qui les préjugé et dismiss souvent les convictions visionnaires de Blake.

Les premiers vers mettent en scène la position inhabituelle de Blake à Londres ancienne, où une perception large le considère comme eccentrique, voire fou. La référence lyrique à sa communication avec les anges et les esprits allude à ses profondes inclinations spirituelles et à l'inspiration étérique qui guide ses entreprises créatives. Ce début prédige le thème de l'isolement, car la préoccupation de Blake pour des choses divines crée une émotion palpable de distance émotionnelle entre lui et sa consort terrestre.

La suite du verset peint un tableau vivide de la vie ensommeillée du couple, une existence passée dans l'obscurité, sur les ombres, entourés de la dérision et de la mépris de l'élite sociale qui restent ignorance de la stature prophetique de Blake. L'intégration d'éléments poétiques et de gravures représentant le Paradis illustre les poursuites artistiques de Blake et sa ardente volonté de dévoiler une réalité transcendante que la société large obstinément ignore.

Le refrain représente une affirmation solennelle, apparemment articulée par l'épouse de Blake, soulignant sa fidélité inchangeable malgré les difficultés. La ligne "Je t'ai tenu quand tu tremblas" met en évidence son rôle pivot durant les moments d'incertitude. "Sur mon tombeau, les mots dirent 'Je t'ai cru, William Blake'" encapsule une foi profonde et durable, étendue au-delà des limites de la mortalité.

La segment suivante introduit un changement émouvant : le narrateur adresse directement William Blake. Ici, une prière se déploie, qui demande des garanties en ce qui concerne l'au-delà et un engagement de ne pas l'abandonner face à l'ignorance et au manque d'appréciation de la société. Ce segment résonne avec l'anxiété undergronde de rester seul dans un monde qui reste ignorance de et inappreciatif des lumière intellectuelle de Blake.

La chanson atteint son paroxysme avec la répétition finale des lignes poignantes "Ne m'abandonne pas sur mon lit, Je t'ai cru, William Blake." Cet aboutissement sert de conclusion solide à l'histoire, encapsulant l'intensité émotionnelle profonde de la prière du narrateur. Il sert de témoignage de la connexion et de la dépendance aux promesses de Blake, quelles qu'elles soient liées à la divinité ou à l'au-delà.

Au total, le chant de Frank Turner "Je t'ai cru, William Blake" émerge comme une réussite remarquable dans la représentation des subtilités de la relation entre un artiste visionnaire et sa partenaire inébranlable. La composition capture adroitement l'essence de la foi, du sacrifice et de l'intensité de croire face à une société malcomprise et néglecte.

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