Shortlings

Signification de la chanson Hollywood (Some Other Kind Of Town) - Fleetwood Mac

EN - FR - RU - DE
EN - FR - RU - DE
Dans la composition de Fleetwood Mac intitulée "Hollywood (Quelque Chose D'Autre)", écrite par Christine McVie et Eddy Quintela, s'éveille un récit qui explore les profonds fonds de l'épuisement urbain et la quête d'une existence plus sincère et gratifiante. La voix distincte de McVie illustre les paroles avec une tableau évocateur, dépeignant les tribulations rencontrées sous la lumière incessante des feux de la ville.

Les premiers vers résument parfaitement l'épuisement de l'existence urbaine : "Les feux des villes, commencent à m'affaiblir." Ceci établit un thème global d'épuisement, la paysage vibrant de la ville exigeant un prix. La supplication de répit dans les moments difficiles souligne la qualité isolatrice intrinsèque de l'environnement urbain.

Un dichotomie thématique émerge entre le charme des saisons changeantes et la magnifique allure de Hollywood : "Je n'aime pas la belle météo, préfère les saisons qui changent." Cet opposedement implique un souhait de retrouver l'authenticité et une volonté d'en extraire quelqu'un. La répétition fréquente du refrain "Toucher du bois" introduit un élément de superstition, mettant en évidence l'incertitude qui règne sur les circonstances du chanteur.

Le chanteur exprime une préférence pour le sentiment tactile de la pluie : "J'adore le sentiment de pluie sur mon visage." Cette préférence pour la pluie plutôt qu'au temps sec s'transforme en métaphore, symbolisant la volonté du chanteur d'avoir une rencontre plus réelle et émotionnellement invigorante, loin de l'étage artificiel de Hollywood.

La répétition fréquente de "Toucher du bois" comme refrain introduit un élément de superstition, mettant en évidence l'incertitude qui règne sur les circonstances du chanteur.

Le chanteur exprime une préférence pour le sentiment tactile de la pluie : "J'adore le sentiment de pluie sur mon visage." Cette préférence pour la pluie plutôt qu'au temps sec s'transforme en métaphore, symbolisant la volonté du chanteur d'avoir une rencontre plus réelle et émotionnellement invigorante, loin de l'étage artificiel de Hollywood.

La répétition persistante du refrain "Aller à quelque autre type de ville." Ce dernier sert comme un poignant refrain, signifiant une profonde longing pour un environnement alternativement plus remplissant et gratifiant. La volonté d'égrener soi-même des contraintes de Hollywood résonne tout au long de la composition lyrique.

Reflectant sur les rencontres passées, le chanteur reconnaît l'illusion du brille et du néon : "Je me suis ébloui par la clarté de la lune, Aveuglé par les nuits éclairées." Ici, le chanteur réfléchit, reconnaissant la nature transitoire de la fascination des attraits superficiels et la réalisation que ces moments ne sont jamais destinés à être authentiques ou satisfaisants.

Les dernières lignes résonnent avec l'imperatif de départ : "Non et je n'en veux pas si la neige tombe, Frotter les feuilles aux alentours, Doit aller à quelque autre type de ville." Cet ultime retour fortifie le thème central de la chanson, avec le chanteur exprimant une détermination résolue pour poursuivre une vie plus authentique et gratifiante loin de l'allure charmante de Hollywood.

En résumé, "Hollywood (Quelque Chose D'Autre)" de Fleetwood Mac exprime une profonde longing pour l'authenticité et un départ de la vie urbaine surchargée d'artifices. À travers des images évocatrices et des paroles touchantes, la chanson navigate adroitement les complexités de la quête d'une existence plus réelle au-delà des éclats de lumière allureuse de Hollywood.

Trending NOW